Sans doute est-ce, Monsieur Franz-Olivier Giesbert*,
Votre paupière en berne qui vous rend aveugle
Pour que vos propos aient l’odeur de camembert
Et les mugissements d’une vache qui meugle.
Et vous n’avez rien d’autre dans votre attirail
Que l’insulte à la plume et le fiel à la bouche :
Peut-être pensez-vous être sur de bons rails
En allant très bientôt vous chausser de babouches ?
Car quand vous rabaissez au rang des moins-que-rien
Le Maire de Béziers d’insultes imbéciles,
Vous ne valez pas mieux qu’aucun de ces vauriens
A l’esprit aussi vif que celui d’un fossile.
Ce n’est pas Ménard qui se "veut intéressant" :
Il a gardé la foi d’un peuple abandonné,
C’est vous qui croyez l’être, oubliant tout le sang
Versé après Evian par les enturbannés.
Votre "Torquemada de ses bals de pompiers"
Assure en sa ville cette pérennité
D’un honneur sans pareil que vous foulez aux pieds…
Vos yeux se fermeront sur votre vacuité. (18/03/15)
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* Éditorial du Point du 19/03/2015