On lit des journalistes qui, l’air sérieux et pénétré, expliquent qu’ils ont vu les ‘vraies images’ de l’attaque par le Hamas le 7 octobre mais qu’elles sont ‘trop horribles’ pour les partager avec les gens ordinaires (vous et moi).
L’époque où l’on nous disait ce qu’on ‘peut’ voir ou pas est révolue. À (...)