"Je suis Charlie’’ ce slogan restera dans les mémoires pour rendre hommage à la liberté d’expression et aux victimes, otages, policiers, dessinateurs et journalistes, tombés sous les balles des « fous d’Allah ».

Mais je ne suis pas « Charlie » car il n’est pas nécessaire de l’être pour défendre ces libertés.

JE NE SUIS PAS « CHARLIE » car je ne suis pas disposé à participer à une solidarité nationale hypocrite et de façade, à une union nationale avec un gouvernement qui ne prend aucune des décisions indispensables et nécessaires à la protection et à la sécurité des citoyens français.

Non, je ne suis pas Charlie, je suis Français, et quand ce slogan sera celui d’une manifestation j’y serai solidaire.

**Je ne suis pas pour la liberté d’écrire et de s’exprimer quand elles sont réservées exclusivement à la gauche.

**Les avez-vous entendus se révolter quand il a s’agit de la liberté d’expression d’Eric Zemmour ?

**Les avez-vous entendus protester quand les « antifas » se mobilisent pour tenter de nous faire taire quand nous défendons nos valeurs ?

**Vous les avez-vous entendus hurler "assassins" contre les forces de l'ordre à Sivens. Ne faut-Il les applaudir que quand ils se font assassiner ?

On ne peut pas non plus rire de tout ! Et la laïcité n’autorise pas de blasphémer sur une religion quelle quel soit, musulmane, chrétienne, juive ou autres.

Pas d’amalgames, pas de racisme, pas d’antisémitisme !!!

Ce sont ceux pourtant ceux qui le proclament le plus fort qui ferment leurs gueules quand les amalgames, le racisme et l’antisémitisme viennent de l’autre côté, contre les « Blancs », contre la France, contre les forces de l’ordre et contre tous ceux qui sont fiers d’être français.

Le Président, le Premier ministre, le ministre de l’Intérieur, se sont exprimés. Avez-vous entendu la Garde des Sceaux, Mme Taubira ?

Or, ce sont dans « ses » prisons que se rencontrent, se radicalisent et s’organisent tous les fondamentalistes islamistes ! Quelles sont ses réactions, ses décisions ?

On interdit aux jeunes « Français » de partir « faire le djihad » en Irak, Syrie, Yemen ou ailleurs mais ils peuvent l’exercer intra-muros et on autorise ceux qui sont partis le faire à revenir en France (s’ils n’ont pas eu la chance d’être tués sur place) afin qu’ils puissent à leur tour raconter leurs exploits, affabuler, recruter, radicaliser et préparer à perpétrer de nouveaux attentats.

Ceux qui se battent avec les ennemis de la France ne sont plus français et doivent être isolés, hors ou à l’intérieur de nos frontières et ceux qui ont assassiné, décapité, massacré, ceux qui ont goûté au sang, doivent être exécutés sans merci.

Dans l’état de guerre religieuse qui nous est déclaré l’humanisme n’a plus sa raison d’être !