Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

INFO 955 AMOUCHA

, par  Jean Claude ROSSO , popularité : 4%
Comme vous pourrez le constater, la Petite Kabylie est plus étendue que la Grande Kabylie. A l’époque Turque, Sétif était dominée par les grandes familles locales dont les Ameurs étaient la grande fraction et gouvernés par les chefs Turcs envoyés par les Beys de Constantine. Cette organisation laisse Sétif loin des pouvoirs politiques et la marginalise ;il faudra attendre la colonisation française pour assister à une reconstruction et renaissance de la ville, disparue depuis. .La Petite Kabylie commence au Sud-est de l’arc du Djurdjura pour s’étirer plus à l’Est avec la chaîne des Babors.

Elle borde au Nord les hautes plaines de Sétif et du Constantinois. .La Petite Kabylie est connue pour être une région côtière particulièrement habitée dans la mesure où la population locale est volontiers plus maritime qu’en Grande Kabylie. .La Petite Kabylie fut pénétrée par la Colonisation à peu près à la même époque que la Grande Kabylie, dans les années qui suivirent les graves émeutes de 1871.

Avant cette date seule Djidjelli, sur la côte, avait reçu des colons agricoles en 1851. Après 1871 les montagnes furent percées de routes colonisatrices. Sur les routes qui mènent de Sétif à Bougie l’on fixa, en 1872, Aïn-Abessa et Aïn-Roua. En 1878 ce fut la région d’ Amoucha, de Tizi-N’Béchar et Kerrata.

Vous invite à découvrir l’histoire de cette localité peuplée en 1960 de 1 863 habitants dont 48 européens.

Bonne journée à tous.
Jean-Claude ROSSO

Navigation



TWITTER semble avoir bloqué certaines diffusions, il n'y aucun tweet pour l'instant.