M. Félix Gouin, Président de l’Assemblée consultative provisoire (créée sous l’autorité du Comité Français de la Libération Nationale) hébergée à Alger de novembre1943 à juillet 1944, tint à exprimer sa gratitude à Alger, lors de son départ pour Paris enfin libéré.
Dans son message, il remercia Alger de son accueil cordial et fraternel et pour sa dignité dans son rôle de « capitale de l’Empire » qu’elle tint durant la guerre.
Il rajouta : « Et d’ailleurs, n’est-ce pas grâce au patriotisme éclairé de quelques centaines d’Algérois que le débarquement allié en Afrique du Nord a pu si facilement prendre pied à Sidi Ferruch le 8 novembre 1942. »
Voilà qui sera oublié par ceux qui qualifient notre présence en Algérie de « crime contre l’humanité » !
