LE CAMP DES SAINTS*

Raspail l’avait prévu, Mitterrand l’a bien dit :
« Ils sont chez eux, chez moi », les pouilleux, la vermine,
La chrétienté n’est plus notre seule racine :
France défigurée, pays abâtardi !

Mais la France n’est pas l’infâme république
Prônant le partage dans son enlisement,
Elle nous a menti et encore nous ment
En traçant ses chemins de plus en plus obliques.

Le noir, le maghrébin et la crasse avec eux
S’étendent toujours plus irrémédiablement,
Elle a trop laissé faire, advient son châtiment,
Tourneboulée qu’elle est de ta tête à la queue.

La citoyenneté n’en est que galvaudée
Par les impératifs d’une « France plurielle »,
Ses idéaux noyés dans une kyrielle
De poncifs dévoyés en sales embardées.

« Son destin est scellé et les Français de souche »
Ne seront plus bientôt qu’une minorité :
Combien grande est certes sa générosité
Quand dessous l’invasion il faut que l’on se couche. (11/05/16)

* d’après Raspail « Quand le patrie est trahie par la république »