
Les Russes ne font pas dans la dentelle et bombardent à tour de bras les positions de l’EI ( et sans doute aussi quelques positions rebelles ) avec, déployés en Syrie, 28 avions quand la France n’en a que 12 pour toute la région. Poutine n’a jamais caché qu’il soutenait le régime syrien et qu’une pacification de la région ne pouvait se faire " pour le moment " sans Assad.
Etc, etc, etc...
Bref, comme vous pouvez le constater, quoi qu’ait pu dire la semaine dernière notre Président à la tribune de l’ONU, le monde entier s’en fout royalement. Il peut continuer à rabâcher à qui souhaite encore l’entendre que Assad ne fait pas partie de la solution, Hollandouille n’est plus dans le mouv’ ; tous les grands dirigeants occidentaux et quelques autres semblent avoir enfin compris, parfois avec des motivations opposées, que l’éradication de Daesh comme la pacification de la Syrie ne pouvaient se faire sans Assad.
Tous l’ont compris et l’admettent, parfois à demi-mots. Tous sauf un et il a fallu que cela soit le notre... Quelle pitié !
NB : à lire, en complément, pour ceux qui l’ont, l’excellent article d’Alexandre Adler paru dans le Figaro Magazine et intitulé : " L’inquiétant amateurisme de François Hollande. "
Folie passagère 2923.

NotreJournal
