Les passionnés d’Histoire et d’Astronomie dans l’Algérie Française de 1830 à 1962 peuvent retrouver ci-jointe sous forme de PDF l’étude complète réalisée par Colette Alla dont nous avons publié récemment quelques extraits. Bonne lecture.
Ci-après le sommaire
Première partie
Besoins de connaissances météorologiques et géodésiques entre 1830 et 1850
1830 : Besoins de l’armée. Brigades topographiques
Contexte politique. Les divergences politiques et scientifiques entre les institutions parisiennes.
Georges Aimé, l’observatoire du lycée d’Alger.Deuxième partie
I) Période de transition politique, scientifique, sociale en l’Algérie de 1850- 1880
Principe d’un observatoire à Alger.
Rôle de la société civile
Nouvelles orientations des sciences de l’observatoire.
Deux personnalités, deux écoles
La station astronomique passe du Ministère de l’Algérie au Ministère de l’Instruction publique
La production de BulardParticipation à la communauté astronomique internationale
Participation à la détermination de l’heure à alger
Le réseau météorologique
Changement de cap : la décentralisation.
Les besoins de la colonisation ,la géodésieII )Les différents observatoires permanents à Alger
Deux personnalités Perrier, Mouchez
Observatoire d’astronomie permanent du dépôt de la guerre à la Colonne Voirol
L’observatoire d’Alger de l’Agha.
Nouveau contexte : création d’une école des sciences à Alger.
Les deux grands projets de Trépied à Kouba.Troisième partie
L’observatoire définitif de la Bouzaréah. 1880-1962
Trépier à la Bouzaréah
Concurrence entre l’observatoire de la Bouzaréah et le service météorologique d’AlgerFrançois Gonnesiat
Philippe Lagrula