Il nous ferait encore avaler des couleuvres,
Car il n’a pas fini de faire son Grand Œuvre
De ses feux allumés de sa pyrolâtrie
Sur ce qu’aujourd’hui il ose nommer « patrie » !
Il ne s’est attaché qu’à saper l’édifice
D’un pays fortifié par ses prédécesseurs :
Son indigence fut le plus grand maléfice
Que devra au plus tôt bannir son successeur.
Confondant réel et fantomatiques songes,
Il a tout détruit de ce qu’était notre force
Et a conduit la France de tous ses mensonges
A consommer alors d’imbéciles divorces.
Et quitte à nous flouer de toutes gabegies
Il demeure toujours plus que content de soi :
Sa myopie sublimée par quelques élégies
L’a ainsi statufié dans son beau quant-à-soi.
Il est temps pour nous de tourner enfin la page :
Cinq ans d’une déroute toujours reconduite
Ont brisé le pays par tous ses dérapages…
Par qui nos vraies valeurs seront réintroduites ? (2/01/15)