Combien de morts innocents supplémentaires faudra-t-il pour que cela cesse ? Il paraît, et je le crois profondément, que nous sommes en guerre, pour longtemps, alors je pose encore une fois la question aux guignols qui nous gouvernent : Contre qui sommes-nous en guerre ? Sont-ce les frappounettes de nos avions en Syrie qui empêcheront les Larossi Abbala ou les Mohamed Lahouaiej-Bouhlel de nous assassiner ? Non. C’est une certitude. Pourquoi ? Parce que le véritable ennemi, c’est l’Islam. C’est au nom d’Allah que tous nos compatriotes sont morts. Et l’Islam, qu’il soit dévoyé ou pas, n’a pas besoin de Daesh pour s’en prendre aux infidèles. Il y a Al Qaida, al Nosra, Hamas, Hezbollah..., et Daesh aujourd’hui ; détruisons Daesh, si tant est que cela soit possible, et une autre tête aussi monstrueuse que malfaisante sortira du livre sacré. C’est écrit.

J’ai entendu cette dame éplorée, et on la comprend, qui disait : " Ma mère est morte dans l’attentat. Elle pratiquait un vrai islam ", Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, l’homme qui a tué hier, pratiquait aussi son vrai Islam, sa page FB est là pour en témoigner.

Alors qu’on ne vienne pas me faire chier avec le padamalgam, avec l’unité nationale, avec le vivre ensemble et autres conneries moderneuses, il va falloir se poser urgemment la question et arrêter de se masturber façon Hollande, Valls et Cazeneuve : L’Islam est-il compatible avec nos valeurs, notre histoire, notre société et l’avenir de nos enfants ? Si oui, ce dont je doute fermement, il va falloir prendre les mesures qui s’imposent et que refusent de prendre les guignols qui nous gouvernent et qui sont censés, comme s’est plu à le rappeler Président, nous protéger. Et les solutions, nous les connaissons tous, comme nous connaissons ce qui ne marche pas, ou pas assez. L’état d’urgence, le plan Vigiprate écarlate, Sentinelle, les rodomontades de président et les coups de menton de Valls n’ont rien pu faire pour empêcher que 84 personnes soient assassinées hier. 

Nous savons bien que le risque zéro n’existe pas mais que l’on m’explique comment, alors que la " menace est maximale ", nous dit-on depuis des mois, un repris de justice étranger a pu avec son camion pénétrer une zone interdite à la circulation et écraser 84 personnes ? On a bien pu filtrer des dizaines de milliers de manifestants à Paris, un policier tous les deux mètres, ou des milliers de spectateurs lors du défilé. Pour quoi pas à Nice ? Où demain ?

A Bagdad, le bilan n’en était encore qu’à une centaine de morts que le ministre de l’Intérieur démissionnait. Plus de 250 morts en France et des centaines de blessés depuis 2012 et que nous dit aujourd’hui le sinistre Cazeneuve ? Que le plan Vigipirate allait être relevé au niveau " alerte attentat "... dans les Alpes Maritimes ! Bouffon ! Démission !

Dès lors que l’on ne prend pas les bonnes mesures pour que cela puisse, un jour, s’arrêter, on devient d’une certaine manière complice des assassins. Combien de fichés "S" ont sévi en novembre ? Combien de personnes bien connues des services de police ont tué au nom ou pour Allah depuis 1986 ? Quasiment toutes ( attentats liés à la " cause " Corse mis à part ). Absolument toutes depuis Mohamed Merah en 2012. Vous pouvez vérifier. Alors, ça suffit ! Stop.

Je suis en colère, nous sommes quasiment tous en colère, une colère légitime et raisonnée. Nous ne pouvons plus nous contenter de discours cent fois entendus et de phrases aussi connes que celles que nous débitent au kilomètre ceux qui sont au pouvoir.

Les minutes de silence, les drapeaux en berne, les petites bougies, la Tour Eiffel en Bleu-Blanc-Rouge et les #Jesuis ne nous suffisent plus. La récupération politicienne nous est devenue insupportable.

250 morts, des centaines de blessés, des milliers de personnes directement touchées et que nous dit Président ? " C’est mon rôle, c’est ma responsabilité de ne pas me laisser détourner de l’engagement que j’ai pris au nom des Français de les protéger " ! Que nous dit l’hystérique de Matignon ? La même chose qu’il y a quelques mois : " L’unité nationale, c’est la seule réponse possible " ! Tristes, pitoyables, bouffons inutiles !

Ça suffit, les bouffons ! Vous n’avez plus d’autre choix que de nous montrer sans délai, si tant est que ce soit possible, que vous êtes capables de nous " protéger " et d’éviter que ce qu’il reste d’unité nationale n’explose, faute de quoi, vous n’aurez même pas à démissionner, vous serez virés au mieux par les urnes, au pire par la rue.

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Folie passagère 3245.

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